Les chiffres départementaux reflètent malheureusement la politique nationale du choc des savoirs.

L’ensemble des organisations syndicales a voté CONTRE les mesures de suppressions de postes et l’organisation des 275 compléments de service qui contraignent les collègues à être sur plusieurs établissements.
Un voeu intersyndical a été proposé et voté à l’unanimité pour demander l’abrogation des mesures du choc des savoirs et l’annulation des suppressions de postes.

La FSU a prononcé la déclaration suivante :

La technologie paie un lourd tribu avec 21 postes fermés dont 9 mesures de carte scolaire (MCS), pour un total de 518h, un véritable plan social.
D’autres disciplines sont aussi particulièrement touchées, notamment les langues et les sciences. Il y a 23 MCS dans le département, majoritairement des conséquences directes de cette réforme du collège qui ne dit pas son nom.
Tout se faisant à moyens constants, les postes supprimés sont rebasculés vers des créations nécessaires à l’instauration des groupes de niveau et concernent donc principalement les maths et le français.

Quelques rares bonnes nouvelles…

Les enseignants supplémentaires en REP+ verront leur postes transformés en postes disciplinaires avec maintien de leur ancienneté.
A noter également la création de 10 ULIS.
Nous avons obtenu la création d’un poste UPE2A à Camille St Saëns (Rouen) et l’annulation d’une suppression d’un poste d’anglais à Blangy-sur-Bresle.

Pour davantage de précisions sur les mesures de suppressions et de créations de poste, ainsi que sur les BMP et les compléments de services, vous pouvez nous contacter, sachant que des ajustements pourront avoir lieu jusqu’en juillet 2024.

Les élues de la FSU au CSA-SD 76

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